Revue de Presse

Plateforme d'apprentissage en ligne EnkUn pour les réfugiés

Célébration de la première année de l'association Empower Lab, à la préfecture du département du 92, avec les équipes et les personnes réfugiés accompagnés en 2020/2021. Une cérémonie, très émouvante de remise de diplôme par Monsieur le secrétaire général de la préfecture des Hauts de Seine, des témoignages sincères et des moments de partage très conviviaux avec la communauté de bénévoles, de partenaires, de mentors et d'amis qui soutiennent l’association EnkUn est une plateforme d'apprentissage en ligne qui fournit aux réfugiées des connaissances utiles pour améliorer leurs opportunités professionnelles et académiques, leur autonomie et leur participation civique.

BFM Business Interview "LE MONDE D’APRÈS" DRONES TAXIS OU AUXILLAIRES DE POLICE

Lundi 1 Mars 2021, BFM Business Jean-Luc Koch, Président de Carvea Consulting a abordé la sensibilité des français aux usages civils des drones : 43% des français prêt à monter à bord de drones taxis, et pour 68% les drones polices rassurent

Des taxis volants pour 2024 ?

D'ici cinq ans, le ciel de nos villes pourrait être sillonné par des engins silencieux, non polluants, capables de décoller et d'atterrir n'importe où. Ces taxis volants hybrides d'hélicoptères et de drones géants vont ajouter une couche aérienne à la panoplie des véhicules de la mobilité durable. L'Asie est le continent le plus demandeur des services d'aérotaxis pour tenter de décongestionner les artères des grandes métropoles. Avec VoloCity, la société allemande Volocopter et Japan Airlines entendent désembouteiller Tokyo

APPROBATION DES DRONES : LES FRANÇAIS PLÉBISCITENT LEUR USAGE POLICIER

Approbation des drones : un phénomène qui progresse Aujourd’hui, l’approbation des drones lorsqu’ils servent à la police est en train de s’imposer en France. Cela, malgré de récents démêlés avec la CNIL. Qui a fermement dénoncé les abus de ce moyen de surveillance. Malgré tout, les Français s’y habituent. En effet, le rôle préventif de ces appareils les rassure.

Le monde d'après : les Français prêts à monter à bord des drones taxis

La crise du coronavirus a eu de multiples conséquences, elle rebat les cartes et nous oblige à repenser ce qu’on croyait acquis. C’est particulièrement vrai en ce qui concerne les transports. L’effondrement du trafic aérien, le choix du train ou le retour de modes de transoprt individuel : tout semble remis à plat.170 projets dans le monde Et dans cette réflexion, les taxis volants ou les drones taxis occupent une bonne place. Plus agiles qu’un hélicopère, plus souples et parfois autonomes, les drones taxis sont, en effet, riches de promesses

Prêts à monter à bord d'un drone-taxi ? 4 Français sur 10 sont pour !

En France, les premiers taxis volants actifs sont espérés et attendus pour les Jeux olympiques de Paris 2024. On savait les Français attachés à la science-fiction, et lorsque la réalité est en passe de rattraper la fiction, ceux-ci semblent en partie emballés. Une étude réalisée par le cabinet de conseil Carvea Consulting, dirigé par un pilote privé et passionné d'aéronautique, et le cabinet d'études Opinea, montre que 43% des Français sont prêts à monter à bord d'un drone-taxi autonome.

Les drones de police rassurent les français

Une étude réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA révèle que 68% des Français sont rassurés par la présence de drone policier. La surveillance de quartiers sensibles ressort comme la priorité dans le classement des Français Top 1 : la surveillance de quartiers sensibles Top 2 : la surveillance de nos forêts Top 3 : la filature de véhicules

Drone Police: le chiffre 70%

C’est le nombre de Français qui seraient favorables à l’emploi de drones policiers, selon une étude de Carvea Consulting et Opinea (échantillon de 1 011 répondants).

ON SE DEPLACERA EN TAXI VOLANT

Préparez-vous à prendre de la hauteur : le décollage des voitures autonomes est imminent. Dès 2024, lors des Jeux olympiques qui se dérouleront à Paris, les premiers taxis volants sans conducteur devraient circuler dans le ciel francilien. Parmi les projets les plus avancés figurent le City Airbus, du constructeur aéronautique européen.

Près d'un Français sur deux prêt à monter dans un taxi-drone autonome

43% des Français seraient prêts à monter un jour à bord d'un drone-navette automatique, sans pilote. Ce sont principalement les jeunes et les CSP+ qui se montrent les plus emballés par cette idée, selon une étude publiée par les cabinets d'étude Carvea Consulting et Opinea.

TAXIS VOLANTS: UBER JETTE L'ÉPONGE

Le géant américain qui n'a toujours pas généré le moindre cent de bénéfice dans son histoire et multiplie les cessions. Le groupe américain Uber, en quête de rentabilité, a annoncé la vente à Joby Aviation de sa division de taxis volants Uber Elevate.Les conditions financières de l'accord n'ont pas été dévoilées mais comprennent l'investissement par Uber de 75 millions de dollars (environ 62 millions d'euros) dans Joby Aviation, société de Santa Cruz fondée en 2009 et qui compte Toyota parmi ses principaux actionnaires.

L’arrivée des drones taxis très attendue par les français

Une étude réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA révèle que 43% des Français sont prêts à monter à bord d’un drone taxi... 2024 pour les jeux olympiques, une ou deux liaisons de démonstration au départ de l’aéroport de Roissy-CDG, à destination de Disneyland Paris et de Saint-Denis, et de quelques « vertiports » construit par le groupe ADR devront être opérationnelles pour décongestionner Paris.

LA PLACE DU CLOUD SOUVERAIN OU COMMENT S’EN APPROCHER

Table Ronde sur le Cloud Souverain avec Jean-Luc KOCH, Garance Mathias, Olivier Bouzereau, Aymeric Thas-Pinot à Paris Expo Porte de Versailles - 23 septembre 2020

LES NOUVEAUX ENJEUX DU NUMÉRIQUE DANS NOTRE SOCIÉTÉ

Ce samedi 6 juin, Jean-Luc KOCH, président de CARVEA Consulting aborde le sujet des nouveaux enjeux du numérique dans notre société : selon l’observatoire de la sensibilité numérique 45 % des Français n’approuvent pas le dispositif de traçage, pire, 23 % le rejettent totalement, mais la division est grande, car d’autre part 49% des français considère qu’une telle solution devrait être imposée sans discussion ni consentement afin de sauver un maximum de vies et d’épargner des emplois.

Après le vote favorable du Parlement, Edouard Philippe invite les Français à utiliser l'application de traçage StopCovid dès le 2 juin

« J'invite tous nos concitoyens à utiliser StopCovid pour se protéger, et protéger ses proches et les autres », a exhorté ce 28 mai Édouard Philippe, en présentant le plan d'actions pour la phase 2 du déconfinement, qui s'ouvre ce 2 juin.

StopCovid : pourquoi les Français sont-ils si frileux ?

C’est officiel, StopCovid sera disponible dès le 2 juin sur Android et iOS. Néanmoins, une étude réalisée par CARVEA Consulting et OPINEA révèle que plus de la moitié des Français ne comptent pas l’utiliser. Mais pourquoi sont-ils si frileux ?

L'application StopCovid a été approuvée par l'Assemblée nationale mercredi, mais une grande partie de la population française reste réticente à son sujet comme le montre le dernier sondage réalisé.

Ce mercredi 27 mai, la création de l'application StopCovid a été votée et approuvée à l’Assemblée nationale. Cette application, avalisée par la CNIL, sera disponible dans les App Store et Google Play Store mardi 2 juin.

Après le vote favorable du Parlement, Edouard Philippe invite les Français à utiliser l'application de traçage StopCovid dès le 2 juin

« J'invite tous nos concitoyens à utiliser StopCovid pour se protéger, et protéger ses proches et les autres », a exhorté ce 28 mai Édouard Philippe, en présentant le plan d'actions pour la phase 2 du déconfinement, qui s'ouvre ce 2 juin. « StopCovid n'est pas l'arme magique contre l'épidémie, mais elle est un instrument complémentaire pour lutter contre l'épidémie, et ceci de manière encore plus efficace demain », a déclaré le Premier ministre. …/… « Il nous faut contrôler par tous les moyens les résurgences de l'épidémie par une identification des personnes contaminées » , a insisté le ministre de la santé, Olivier Véran, estimant que, « l'épidémie n'étant pas terminée », « le numérique peut nous aider encore davantage pour dépister précocement » les malades. « Il s'agit d'un projet français » , a encore souligné Cédric O. Car contrairement à d'autres pays, le gouvernement a choisi de ne pas passer par les solutions de Google et Apple, et a sollicité des chercheurs d'Inria, l'institut français de recherche en informatique. Un argument qui a notamment fait mouche auprès du patron des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui entend « donner une chance à une application française, au nom de la souveraineté numérique, face aux sirènes des GAFAM » américains. Des parlementaires divisés À l'inverse, son homologue à l'Assemblée Damien Abad a dénoncé « une application mort-née, qui arrive trop tard et un pas de plus même prudent » vers une société « orwellienne ». …/… De telles divisions parcourent la société. Selon un sondage réalisé par le cabinet de conseil Carvea et Opinea, auprès de 1 004 personnes, 45 % des Français sont plutôt défavorables à la mise en place d'une application numérique, craignant la perte de l'intimité et de la vie privée ou la divulgation des données personnelles. Par ailleurs, d'autres outils alternatifs fleurissent. Comme l'application gratuite Mon geste en + de l'Institut français de l'Expérience patient (IFEP), qui permet à l'utilisateur de consigner dans un carnet numérique les contacts qu'il a fréquentés.

Application COVID 19 : les Français sont réticents à l’idée de la surveillance par des outils numériques

Le lancement de l’application STOP-Covid qui doit être débattu au Sénat, crée une situation exceptionnelle d’urgence avec des enjeux humains et économiques extrêmes. Elle oblige chacun d’entre nous à se prononcer sur l’acceptabilité sociale d’une surveillance via des outils numériques.

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